« Il est le seul Christ moderne devant lequel quiconque peut prier. » André Malraux
Première artiste à être célébrée de son vivant au Musée national d’art moderne de Paris et par le monde littéraire, unique femme exposée au MoMA, à New York, en 1959, l’année de sa mort, parmi 23 noms dont Bacon, Dubuffet, Giacometti ou Pollock, la sculptrice Germaine Richier est aussi une pionnière dans l’histoire de l’art sacré.
En 1950, des prêtres, selon qui « mieux vaut des génies sans la foi que des croyants sans talent », lui commandent le Christ pour l’église du plateau d’Assy, en Haute-Savoie, sa création étant jusqu’alors confiée à des hommes. Mais une violente cabale soutenue par le Vatican qui le juge blasphématoire, s’abat sur l’œuvre, déclenchant un scandale international.
Banni par le pape, le Christ de Germaine Richier entame une errance qui durera dix-huit années.
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