Formée à l’Art Institute de Chicago, représentante majeure de l’expressionnisme abstrait, Joan Mitchell, née le 12 février 1925 à Chicago et morte le 30 octobre 1992 à Paris, a consacré sa carrière de peintre au dialogue entre tradition américaine gestuelle et tradition française impressionniste.
Femme artiste et militante au milieu d’hommes artistes, sa peinture colorée et libre s’émancipe des traditions pour nous offrir sa vision intérieure du paysage, de la lumière et de la nature : « Je préfère laisser la nature à elle-même. Je n’entends pas l’améliorer, je ne pourrai jamais la refléter. J’aime mieux peindre ce qu’elle me laisse en dedans. »
Ses œuvres puissantes sont exposées dans les plus grands musées d’art moderne du monde.
Femme artiste et militante au milieu d’hommes artistes, sa peinture colorée et libre s’émancipe des traditions pour nous offrir sa vision intérieure du paysage, de la lumière et de la nature : « Je préfère laisser la nature à elle-même. Je n’entends pas l’améliorer, je ne pourrai jamais la refléter. J’aime mieux peindre ce qu’elle me laisse en dedans. »
Ses œuvres puissantes sont exposées dans les plus grands musées d’art moderne du monde.
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